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    Le Nuevo Circo est une enceinte magnifique, un patrimoine historique d'une grande valeur. Construite en 1919 dans le centre de Caracas, la capitale du Venezuela, cette arène était dédiée exclusivement à accueillir des corridas.

    Et, depuis quelques années, dans les faits, c'était devenu un lieu de création culturelle, un espace où se retrouvent troupes de théâtre, groupes de musique, compagnies de danse...

    Le 21 avril 2009, une motion a été présentée au conseil municipal de Caracas pour figer, officiellement, définitivement, cette situation et faire du Nuevo Circo un endroit libre de tout méfait tauromachique.

    A cette occasion, la motion a demandé que la capitale du Venezuela se déclare ville anti-taurine.

    La résolution a été adoptée sans souci.

    Ainsi, Caracas devient la deuxième ville anti-taurine du pays (après Carrizal), la cinquième du continent américain et la première capitale au monde à se déclarer opposée à la torture sous le soleil.

    Des nouvelles comme ça, j'en veux tous les jours !

     


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  • 2009031101265702_375  1236756913_0

    Les cantines scolaires de la ville de Valencia (Espagne) remercient bien sûr le HGH (Hospital General Universitario)-c'est un peu notre CHU à nous-de la ville pour la matière première mais bon...Le boudin/purée tous les jours, c'est gerbant. Même gratos.

    Et si Antonio Hernández a perdu des litres et des litres de raisiné, ce n'est pas une raison pour en faire profiter de pauvres gosses innocents, au risque de les traumatiser pour toujours et d'en faire de redoutables végétariens.

    Tu n'es pas au courant ? Je te rappelle gentiment que ce gredin s'était fait caramboler dans les grandes largeurs (cf mon article du 12 mars 2009) dans l'arène. Et vois-tu, ce ne sont pas des écorchures qu'il avait collectionné.

    Je m'étais alors excusé de ne pas avoir été plus disert sur les circonstances de cet heureux évènement.

    Ces deux photos te montrent ce galet repoussé par une mer de sang et de connerie.

     


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  • images

    Tu prendras connaissance ci-après de quelques chiffres vraiment significatifs qui te permettront de briller en société et d'épater tes proches quand viendra le moment de parler du réchauffement climatique, du développement durable et des écogestes.

    Je les tiens du site du Huffington Post: http://www.huffingtonpost.com/kathy-freston/the-breathtaking-effects_b_181716.html

    Si tous les américains devenaient végétariens pendant une seule journée, seraient économisés :

    -plus de 300 milliards de litres d’eau, soit de quoi alimenter les domiciles de l'état de la Nouvelle-Angleterre pendant près de 4 mois

    -700000 tonnes de céréales non consommées par le bétail (de quoi nourrir l’État du Nouveau-Mexique pendant plus d’un an)

    Et ce faisant, les Etats-Unis préviendront :

    - l'émission de gaz à effet de serre représentant 1,2 million de tonnes de CO2

    Et obtiendront :

    - 4,5 millions de tonnes d’excréments de bovins en moins

    -7 tonnes d’ammoniac en moins dans l’atmosphère


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  • crew_aerial_ship_crew_by_Paul_Taggart

    Paul Watson était en France début avril où il a donné quelques conférences. Ce fut pour lui l'occasion de revenir sur la dernière campagne (opération Musashi) de Sea Shepherd Conservation Society dans les eaux glacées de l'Antarctique, afin de pourrir la vie de ceux qui donnent la mort, pour plomber les coûts de cette chasse à la baleine conduite par la flotte japonaise.

    Le quotidien Libération lui a consacré une pleine page dans son édition du lundi 20 avril.

    L'article est mou du genou, avec un ton distancié qui me déplaît mais bon...L'essentiel est de franchir la muraille des médias qui sont en général peu commodes et malveillants avec la cause animale, surtout quand elle s'affiche comme radicale comme c'est le cas avec le captain Watson et SSCS.

    Voici un extrait. Puis le lien (ne tarde pas trop pour cliquer dessus car il se peut qu'il ne reste pas valide très longtemps).

    "Le job, c’est six mois en mer par an pour contrer les prédateurs des baleines, requins, dauphins, phoques et même concombres de mer. Et bientôt, le thon rouge de Méditerranée.
    Mais quand on dit défendre, on ne parle pas de manifs ou de pétitions.
    Watson prône l’intervention. Ses bateaux n’hésitent pas à attaquer les navires à coups de «guerre chimique biologique» (des bombes à base de beurre pourri), d’éperonnage à l’ouvre-boîtes géant ou de poursuites sur des milles de baleiniers qui ripostent parfois avec violence.

    Watson fait tout pour leur polluer la vie et frapper au portefeuille. L’argumentaire est rodé : «Nous avons la loi pour nous, nous agissons au nom des réglementations internationales. Le jour où les Etats les feront respecter, nous arrêterons.» Les aventures du Captain Watson ont inspiré plusieurs films - le dernier, Pirate for the Sea, fait la tournée des festivals - et une série documentaire télé, Whale Wars, suit ses campagnes."

     

    http://www.liberation.fr/terre/0101562974-harpon-entendeur

     


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  • diapo_tempete1

    Why do birds suddenly appear
    Every time you are near?
    Just like me, they long to be
    Klaus to you.
    Why do stars fall down from the sky
    Every time you walk by?
    Just like me, they long to be
    Klaus to you.

    D'après, très approximativement, la célèbre chanson des Carpenters

    Qu'il est réconfortant de lire de telles lignes ! Comme on a envie d'être, à ce moment là, une petite araignée, tenant sa tasse de café chaud dans le creux de ses paumes tandis que les autres doigts courent sur le clavier pour faire partager la bonne nouvelle...

    Car oui, mon bon, ma mie, les viandards sont malheureux. Ils pleurent. Pas tous certes mais un bon paquet. Ceux du Sud-Ouest notamment.
    Sur une ligne de Condom à Cazaubon, du Lot-et-Garonne aux Landes, c'est la désolation. Le coeur étreint par la tristesse, les paloumayres (snipers de pigeons ramiers) constatent ainsi que les espaces boisés, sur les crêtes, en tout point parfaits pour ériger des palombières, sont détruits à près de 80 %.
    Pour ce qui est des cabanes sur les arbres, elles ont pratiquement toutes disparues.

    Le quotidien La Dépêche rapporte donc la misère des chasseurs après le passage de la tempête Klaus. Je t'en ai déjà parlé bien sûr mais j'insiste; car il est est doux à mes yeux de lire que " plus encore que la chasse à l'affût et au fusil, c'est celle au filet qui est sérieusement compromise. En effet pour poser un vol, et le regrouper peu à peu au centre d'une clairière, il faut un environnement impeccable, caché, mais sans trop de broussailles. Les forêts et les bois châtiés par Klaus sont un enchevêtrement impossible de branchages qui auront séché à l'hiver prochain".

    Tu l'as compris très vite, les palombes ne reviendront plus se poser dans le coin, sinon vite fait, pour admirer les ruines de ces cabanes à la con.

    Moi j'appelle ça des cabanes à la con. Eux, des "installations d'ingéniosités pour agiter les appelants au bon moment et leur faire battre les ailes pour poser un vol, qui sont souvent les résultats d'années et d'années de travail."

    Tout est par terre. Transformé en bûchettes.

    L'adage dit qu'il ne faut pas se réjouir du malheur d'autrui. Va dire ça aux palombes !

     


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