• A Exireuil, le chevreuil devait mourir lentement et de terreur...

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    Il a eu raison, Michel Musset, de rappeler ce propos du vice-président de l'hôpital de la Salpêtrière à Paris :"Trois criminels sur quatre avaient maltraité un animal."
    Et question maltraitance, les accros à la vénerie, ils ne font pas dans la demi-mesure.
    Pour l'animal, la chasse à courre peut être résumée simplement : mourir lentement et de terreur.
    Les types qui s'adonnent donc à ce genre de distraction sont des tarés, des pervers jusqu'à la moelle des os qui ont été bercés trop près du mur.
    Qu'il doit être sombre et moche, leur inconscient, pour les conduire à lever et traquer une pauvre bestiole jusqu'à épuisement, la dépecer puis regarder, sourire aux lèvres, les chiens fous furieux dévorer la carcasse !
    Michel Musset était présent, avec beaucoup d'autres amis, samedi 27 novembre à Exireuil, dans les Deux-Sèvres, pour s'opposer au déroulement d'une chasse à courre au chevreuil.
    Cette initiative avait été appelée par CV&N, la Convention Vie & Nature.
    Ce fut une occasion pour contrarier (avec réussite car la chasse à courre a été annulée) ce jeu cruel et sanglant et exiger une nouvelle fois l'abolition de cette pratique dont on est certain qu'elle s'adresse à des psychopathes qui feraient bien mieux, afin de préserver l'équilibre mental et l'intégrité physique de leur entourage, d'aller consulter. A la Salpêtrière justement, service psychiatrie adultes.


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