• Ami(e)s belges salut !
    Je sais, grâce à quelques petits et simples programmes statistiques associés à ce blog, que vous êtes nombreux à me faire la faveur de vos visites.

    Et je commence à bien vous connaître. Comment vous êtes habillés quand vous vous connectez sur la page d'accueil du blog, ce que vous vous préparez à manger, si les rappels de vaccination de votre animal de compagnie adoré ont été effectués dans les temps etc.

    Presque tout. Cependant, je ne sais pas si vous êtes disponibles le 1er juillet.  C'est un mardi.

    Dans l'affirmative, ce serait hyper dommage (et je serais très déçu) de ne pas répondre à l'invitation lancée par la Fondation Brigitte Bardot à tous les amis des animaux et donc à tous ceux qui sont révulsés par la chasse au phoque.

    Il faudra que la Commission Européenne siègeant à Bruxelles vérifie à quel point la mobilisation est forte pour faire cesser cette barbarie.

    Tous les ans, vous le savez, le Canada persévère dans cette chasse innommable malgré la réprobation quasi unanime de l'opinion publique.   

    Aujourd'hui, la Commission Européenne est en passe de statuer sur cette tradition. Elle envisage actuellement d'interdire l'importation des produits issus de la chasse aux phoques,
    La Belgique et les Pays-Bas ont déjà adopté un embargo national sur les produits issus des phoques. L'Allemagne, l'Autriche et l'Italie ont annoncé leur intention de faire de même.

    Le gouvernement canadien flippe vraiment face à la possibilité de cet embargo. Il a tout essayé, entre intimidation et corruption, pour faire foirer l'éclosion d'une telle mesure.

    Mettons-lui un bon taquet dans la gueule !  Et n'oubliez jamais que c'est pour sauver les phoques d'une mort atroce que vous vous rendrez à Bruxelles cet après-midi là.

    Date : Le 1er juillet 2008 départ 13h
    Adresse : Rue de la Loi 175 - 200 à Bruxelles, entre le bâtiment Justus Lipsius du Conseil Ministériel Européen et le bâtiment Berlaimont de la Commission Européenne.
    Transport
    s en commun : arrêt à Bruxelles Central.
    Métro : ligne 1b direction Stokkel ou 1a direction Hermann Debroux, il faut s'arrêter à Shuman (4è arrêt).

    Nota : il va sans dire, mais ça va mieux en le disant, que, même si tu crèches à Paris, Naples, Rennes ou Varsovie, tu as le droit de participer à ce rassemblement.

     


    votre commentaire
  •     

    Aujourd'hui ce sera du concis. Pour cause d'activité militante (dans le cadre du printemps BIO 2008) j'ai été passablement occupé.

    Donc, je t'annonce que la Fondation Brigitte Bardot  vient de lancer une campagne télévisée nationale importante autour de l'idée pivot : "Il est temps de changer notre regard sur l'animal".

    Des spots seront diffusés sur les chaines hertziennes et sur la TNT jusqu'au 28 juin.

    Quatre thèmes conduisent les messages :

    - l'animal cobaye

    - l'animal esclave

    - l'animal produit

    - l'animal objet

    On en reparle, hein ? On s'échange nos ressentis, nos réactions ?

     


    votre commentaire
  •   

     C'est quoi une mort horrible ?
    A priori, je dirais que c'est une mort que tu vois arriver, lentement mais sûrement.
    Il y a une majorité de personnes qui disent :  l'idéal, c'est de mourir dans son sommeil, sans s'en rendre compte.

    Une mort horrible, c'est, en plus, quand tu souffres avant d'y passer. Que tu en baves. Douleurs, gémissements, et l'attente interminable et suffocante du trépas.

    Une mort horrible, c'est, en plus de tout ça, quand tu n'y es strictement pour rien. C'est uniquement le fruit du hasard qui t'a conduit à endurer une telle épreuve.

    Une mort horrible, c'est, somme de tous ces malheurs, quand tu es mort pour rien. Je n'ai pas dit pour pas grand-chose ; non ! Pour que dalle. Ta mort indiffère tout ce qui vit et pense.
    Ta vie ne valait rien, ta mort encore moins.

    Moins que rien, tu imagines ?

    Nous allons avoir une pensée émue pour ces 20 vaches qui, mercredi 04 juin, dans une bétaillère, ont connu une mort horrible.
    Déjà, le transport. Vers où tu sais. Dans quelles conditions, on devine.

    Arrachées à leurs tourteaux de céréales et à leurs stalles, elles avaient grandi vite, donné beaucoup de lait et s'apprêtaient à mourir jeunes.

    Sur la route, dans le sens Charolles-Mâcon, vers 23h30, un essieu du camion a pris feu.
    Le chauffeur italien s'en est bien sûr aperçu. A cette heure, il n'y a pas grand monde qui roulait.
    Il a attrapé la 1ère aire de stationnement  qui se présentait (La Roche-Vineuse), s'est garé et a appelé les secours.
    Les secours sont venus. Ils ont mis le temps, compte-tenu des circonstances.

    Les 20 vaches ont été brûlées vives.

    Heureusement, nous rapporte l'article du Bien Public,  la remorque a pu être épargnée !
    J'imagine que comme moi, tu te poseras la question de savoir pourquoi ce chauffeur n'a pas pris la peine d'ouvrir les portes du fourgon une fois garé sur l'aire de repos.
    C'est pas la foule qui devait le déranger...

    Pensait-il plutôt à ses petites affaires personnelles rangées dans la remorque ?

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique