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    L’équipe du CRAC Europe est heureuse de vous inviter à participer à sa conférence de presse qui se tiendra samedi 4 septembre à 16 h 30 au 34 rue Pannecau, à Bayonne.

    Un premier rendez-vous est fixé à 13 heures devant les arènes de Bayonne. Il est prévu de distribuer dans toute la ville 10 000 tracts pour informer sur la réalité de la corrida et pour dénoncer l’utilisation de l’argent public pour financer la barbarie des arènes, en particulier à Bayonne.

    Alors que la Catalogne espagnole vient d’abolir la corrida, que des élus de différentes régions d’Espagne initient le même processus démocratique, dans le sud de la France, malgré la crise économique grave, des élus aficionados continuent à utiliser les fonds publics pour assouvir leur passion coupable.
    Dans quel pays vivons-nous alors qu’au Pays basque Sud, le 26 août 2010, le Parti Ezker Batua a présenté une ILP (initiative législative populaire) pour demander une modification de la loi sur la protection animale en incluant les corridas ?
    L’objectif étant bien entendu l’abolition de cette pratique d’un autre âge.

    En France, 58 députés ont déjà signé la dernière proposition de loi déposée pour la première fois par deux députées, Muriel Marland-Militello, UMP, et Geneviève Gaillard, PS, le 13 juillet dernier.

    Au Pays basque Nord, plus de 200 personnalités ont signé le manifeste du CRAC Europe pour l’abolition de la corrida. L’abolition est en marche, en Espagne, au Portugal et en Amérique latine.
    Il serait temps que les élus du sud de la France en prennent conscience.


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  • CHIEN
    Photo : NR

    Huit mois sur douze, la nature appartient aux viandards. Toute la nature. Tous les êtres vivants sensibles qui ne partagent pas leur passion de tuer n'ont rien à y faire. C'est ainsi. Ou alors, c'est à leurs risques et périls. D'ailleurs, des panneaux de signalisation "Nature : ne pas pénétrer, danger de mort" devraient être posés un peu partout d'août à mars.
    Mais le problème, c'est que les chiens, par exemple, ne savent pas lire.
    Ce malheureux toutou par exemple, là, sur la photo. C'est un basset fauve de Bretagne. Un petit chien gentil comme tout, affectueux.
    Samedi 21 août, il gambadait dans la campagne du côté d'Azay-le-Brûlé (Deux-Sèvres) quand un salopard lui a tiré dessus avec un fusil de chasse.
    A bout portant. Sa patte arrière gauche a été tellement esquintée qu'il a fallu amputer l'animal.
    Le maître du chien ne comprend pas comment un type sain peut commettre un tel acte.
    "Comment peut-il se regarder dans une glace sans se dégoûter ?" Ajoute-t-il.
    Pas de souci, c'est un viandard. Il a l'habitude.

     


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  • LOUP

    Sarko ne protège pas seulement les grandes fortunes avec constance, il prend soin, courageusement, des éleveurs de brebis et met en garde le loup : "Gaffe à toi pauvre con, tu verras qui je suis, fais pas le malin !".

    Les 150 loups (au grand maximum) répertoriés en France (ils sont 5000 en Espagne) tremblent. Ils sont aux portes des villes, racontent les ultras pastoraux; Tirs sélectifs ? Reconduites à la frontière ?

    Le communiqué de l'association FERUS:

    "FERUS prend acte de la prise de position de Nicolas Sarkozy sur le loup. Lors
    d’une rencontre avec les éleveurs à Noyers sur Jabron, le président de la
    République a confirmé son statut d’espèce strictement protégée et a
    écarté toute idée de dérogation aux lois et conventions en vigueur. Cela
    semble aller de soi mais certains finissaient par se faire des illusions ;
    espérons que la pression retombera et que, comme Ferus l’a toujours
    demandé, tout le monde se concentrera sur la mise en œuvre de mesures de
    protection des troupeaux qui on fait leurs preuves.

    Le président a ordonné au préfet des Alpes de Haute- Provence de prendre un
    arrêté préfectoral de tirs de prélèvements.  Il ne s’agit que de
    l’application du texte en vigueur, Ferus rappelle sa ferme condamnation des
    tirs de prélèvement qui consistent à tuer un loup juste pour faire plaisir
    à ses ennemis, sans associer ce tir à la défense d’un troupeau. Cela ne
    résout évidemment rien.

    Soulignons au passage que les pouvoirs publics expliquent depuis des années
    qu’il est bon de déconcentrer sur les préfets les décisions pour
    qu’elles soient prises au meilleur niveau, proche du terrain. Ce serait le
    cas notamment s’il y avait plus de concertation avec les associations de
    protection de la nature. Une fois de plus le marteau-pilon présidentiel vient
    écraser une mouche locale."


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  • chien

    Mon copain
    Quand j’ai du chagrin
    Il ne me dit rien
    Il sait bien que ça ne sert à rien
    Quand j’ai du chagrin

    Mon ami
    Quand j’ai de la peine
    Il ne me dit pas qu’il m’aime
    Je sais bien que ça le gêne
    Quand j’ai de la peine

    Alors il m’écoute
    Moi je sais qu’il m’entend
    Et il me regarde
    Moi je sais qu’il comprend

    Il se met dans un coin
    Ses yeux sont plus malheureux
    Que les miens

    Mon copain, mon ami
    Il est plus qu’un ami
    Plus qu’un bon copain
    ...Puisque c’est mon chien

    Chantal Abraham


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  • feroe_islands_massacre_mammiferes_marins_globicephales_6_v

    Depuis plusieurs semaines, l'association Sea Shepherd et la Fondation Brigitte Bardot assistent sur place et témoignent, sous la menace de la Navy Danoise, au plus grand massacre de mammifères marins d'Europe.
    Les deux organisations demandent dans une lettre ouverte datée du 19 août 2010, adressée à la Reine Margrethe II du Danemark, de mettre un terme à cette boucherie qui fait la honte de l'Europe.

    « Votre Majesté,

    Depuis plusieurs semaines, nos deux organisations (Fondation Brigitte Bardot ; Sea Shepherd) sont présentes au large des îles Féroé pour combattre le massacre de centaines de globicéphales.

    Notre équipe, à terre et en mer, peut témoigner de la violence de ces tueries qui font des fjords féringiens un immense et sanglant cimetière marin. Nous en témoignerons d'ailleurs prochainement, au Parlement, et alerterons les députés européens sur la barbarie perpétrée aux îles Féroé sous la protection active des autorités danoises.

    Au large des Féroé, la marine danoise talonne de près notre équipe, navire et hélicoptère harcèlent et tentent d’intimider notre équipage. Le Danemark contrôle ainsi le territoire de pêche et protège les navires qui rabattent les globicéphales vers les baies où ils seront massacrés à coups de couteaux et de crochets.

    Nous sommes en 2010 et parlons d'un pays de l'Union européenne, le Danemark, signataire de la convention de Berne, tenu de faire appliquer la directive "habitat" censée, notamment, protéger les cétacés !

    Par ailleurs, le Danemark octroie de très généreuses subventions aux féringiens.

    Il ne s'agit nullement d'une « chasse » de subsistance, une recommandation de 2008 proscrit même la consommation de la viande et de la graisse du globicéphale qui présentent des taux très élevés de mercure, de pesticides et de divers polluants.

    Des morceaux de viande ont été retrouvés par nos équipes dans des décharges à ciel ouvert. Certains des cétacés massacrés sont rejetés à la mer, notre navire s’est d’ailleurs retrouvé encerclé de cadavres flottants.

    Ce spectacle macabre est une honte pour le Danemark et les iles Féroé.

    Les Iles Féroé et le Danemark se prétendent indépendants et sans influence l’un sur l’autre. L’archipel bénéficie pourtant d’importantes subventions directement versées par votre pays…

    Le Danemark sait utiliser ce levier monétaire lorsqu’il s’agit de rappeler à l’ordre les Féroé sur l’utilisation des ressources gazières et pétrolières à proximité des îles.

    Afin d’abolir enfin une pratique aussi cruelle qu’inutile, le Danemark, en qualité de grande nation européenne, se doit de faire preuve de la même volonté de persuasion que celle déployée pour protéger ses intérêts économiques.

    Des études scientifiques menées par des pays chasseurs et sans aucun protocole valable, ont évalué à 800.000 le nombre de globicéphales de la région, et prétendent de manière arrangeante que l’espèce n’est pas menacée.

    Mais notre équipage, conduit par un cétologue expérimenté, a sillonné l'archipel, s'est rendu dans des zones supposées riches en globicéphales, mais partout un même constat de désolation : la mer est devenue anormalement silencieuse.

    Les féringiens ont fait taire les chanteurs des mers.

    Les chasseurs prétendent accomplir un acte communautaire en pratiquant un massacre qui décime sans discernement et sans exception tous les individus, adultes, femelles gestantes et juvéniles, retournant contre eux le caractère particulièrement solidaire des globicéphales.

    Il ne s'agit pas d'une « chasse » mais d'un véritable génocide animalier. Il devient urgent de protéger cette « richesse » inestimable et irremplaçable. Le Danemark et les iles Féroé se doivent de privilégier l’avenir sur une tradition passéiste qui ne trouve plus aucune justification acceptable dans le monde d’aujourd’hui.

    Votre Majesté, et à défaut d'une réaction de votre part, nos deux organisations ont décidé de s'unir pour mener une campagne internationale contre le Danemark, coupable et complice d'actes de barbarie.»

    Brigitte Bardot & Paul Watson
    Présidente Fondation Brigitte Bardot - Président Sea Shepherd

     


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